Nous traversons tous a l'heure présente et actuelle, le temps, l'époque, de la même façon, qu'importe nos rythmes, nos habitudes, notre perception de ce temps.
L'époque est pressée, ressentie comme oppressive, et les rames de métro passent à cette vitesse écrasante que l'appareil saisi dans la violence de son mouvement.
Des corps sont présents dans ce mouvement, qui sont donc soumis à une rapidité subie qu'on s'impose en utilisant ces moyens d'aller toujours plus vite.
Nos corps, en question, s'usent d'être bousculés, écrasés dans ces wagons rapides, dans lesquels ils s'immergent quotidiennement, de façon routinière. Heureusement de l'extérieur on peut voir l'architecture que les lumières de la ville éclairent, elles, immobiles et statiques, et de l'intérieur, le regard peut se porter, furtivement au moins, vers ce monde plus silencieux et plus lent.
D'un côté comme de l'autre, la ville révèle ses aspects merveilleux, et c'est grâce a cet ensemble, cet entrechoc, qu'une œuvre alliant l'esprit, la littérature et l'imag(inaire) apparaît, laissant les différents éléments se transcender entre eux.
samedi 31 octobre 2020
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